Devenir végétarien et végétalien pour préserver l’environnement

Les hommes consomment chaque jour de plus en plus de viande et si on fait le calcul, la race du bétail pourrait disparaitre dans un avenir proche. C’est pour cela qu’adopter un régime végétalien ou végétarien peut beaucoup aider dans la préservation de notre écosystème. Mais qu’est-ce qu’on entend vraiment par végétalisme et végétarisme ?

Comprendre le végétalisme et le végétarisme

Le végétarisme est un mode alimentaire qui consiste à exclure la consommation de toute chair animale. Ce genre de régime a été pratiqué depuis longtemps par nos ancêtres et selon certaines interprétations, le végétarisme vise même à ne consommer que du végétal comme les légumes et fruits avec des produits originaires d’animaux d’élevage. De ce fait, un végétarien peut manger des produits laitiers, des œufs et du lait puisque ces produits n’ont aucun impact sur l’environnement. De son côté, le végétalisme est un régime alimentaire plus poussé que le végétarisme. Il consiste à ne consommer que des produits d’agricultures, dont les fruits et légumes. Un végétalien ne consomme donc pas des produits de l’élevage tels que les œufs, le lait et les produits laitiers. Bien que le végétalisme soit assez difficile à respecter, ce régime parait plus efficace pour protéger notre environnement.

Le végétalisme et végétarisme ne sont pas simplement un régime alimentaire

Effectivement, le végétalisme et le végétarisme ne sont pas simplement un mode alimentaire que l’on adopte quand on veut ou lorsqu’on souhaite maigrir. Ils sont principalement adoptés pour garantir une bonne santé et pour préserver l’environnement. En effet, ne manger que des fruits, des feuillages et des légumes permet de prévenir contre une multitude de maladies comme l’hypertension artérielle, l’obésité, la goutte et les troubles cardiovasculaires. Ce régime contribue beaucoup aussi à la protection de la planète, car en excluant les poissons, la viande et les fruits de mer dans nos nourritures, nous réduisons considérablement le nombre d’animaux tué par jour, ce qui laisse l’écosystème se développer à un bon rythme.